mercredi 9 mai 2007

GBoH -Comte Rendu

Arbr vs Montecristo

Les Carthaginois (Montecristo) engagèrent les hostilités en avançant leurs archers maures sur la ligne de tirailleurs syracusienne et en lançant leurs chars lybiens. Les tirs des archers furent redoutables et les chars d'une très bonne efficacité à un point tel que, très rapidement, malgré des tentatives de réaction des archers crétois, des frondeurs mercenaires et des Illyriens, la 1ère ligne syracusienne fut percée. Himilco prit alors de vitesse ses ennemis (court circuit réussi) en poursuivant l'attaque. Les archers maures se mirent à portée de tir des phalanges siciliotes, italiotes et syracusiennes les arrosant de flèches meurtrières tandis que les chars lybiens se sacrifaient sur les dites phalanges pour les éprouver le plus possible.

Mais Daphnaeus ne paniqua pas et, immédiatement, il lança sa cavalerie lourde sur celle d'Artabas. Dionysus voyant l'opportunité de prendre de flanc l'aile gauche carthaginoise sauta sur l'occasion (court circuit réussi) et chargea les unités de cavalerie légère numide lybienne ainsi que leurs alliés grecs.
Son aile gauche se faisant enfoncée, Himilco choisit de faire glisser son infanterie légère africaine sur la gauche détachant même quelques unités afin qu'elles attaquent par l'arrière la cavalerie légère syracusienne. Malheureusement les guerriers africains furent d'une piètre efficacité et Dionysus put continuer sa percée même si un javelot vint se planter dans son bouclier.

Son aile gauche étant sérieusement menacée Himilco décida d'engager ses meilleurs troupes à savoir sa division de mercenaires directement sur les phalanges commandées par Heloris. Certes, il avait pleinement conscience que cela allait couper son armée en deux mais il comptait sur les archers maures pour faire la jonction. Toutefois, pour mener à bien ce plan, il lui fallait neutraliser la cavalerie légère syracusienne qui protégeait le flanc gauche de l'ennemi. Il décida donc de lanser contre elle sa cavalerie lourde. Deneratus voyant venir vers lui les cavaliers de Gisgo se mit immédiatement en position de combat.

Pendant ce temps de l'autre côté du champ de bataille Dionysius continuait sa percée avec une tel vision des combat (court circuit réussi) qu'il anéanti totalement la cavalerie légère des carthaginois ainsi que son chef Artabas.

Décidément les dieux de la guerre étaient avec les cavaliers syracusiens car au même moment la cavalerie lourde de Carthages se fracassait sur les unités commandées par Demeratus. Très rapidement il ne resta plus rien des unités de Gisco !

Devant l'anéantissement de toutes ses unités de cavalerie, Himilco perdit un peu ses moyens (court circuit raté) ce qui permit à à Dionysus d'aller s'installer derrière les lignes carthaginoises. Heureusement pour l'infanterie légère d'Himilco, la cavaleire lourde syracusienne était quand même éprouvée (quelques pertes et surtout plus de point de commandement pour Dionysus)

C'est à ce moment que Daphnaeus lança ses phalanges sur l'ennemi.
Immédiatement les archers maures furent envoyés sur les phalanges syracusiennes pour les cribler de flèches (ce qu'elles firent relativement bien) et ralentir leur progression afin de retarder le plus possible leur assaut sur les tribus africaines.
De son côté, Mago, pleinement confiant dans la force de ses vétérans lybiens et de sa phalange de mercenaires grecs s'avançait au contact des unités d'Héloris pendant que son infanterie légère ibérique chargeait la cavalerie de Demeratus pour que l'armée carthaginoise, après s'être faite contourner sur sa gauche, ne le soit pas sur sa droite !

Demeratus eut alors l'intelligence d'esquiver toutes les charges des ibères et, dès que ceci arrivaient au contact, il repliait sa cavalerie étirant ainsi l'armée cathaginoise et rendant son commandement de plus en plus problèmatique.

C'est à ce moment que Mago engagea le combat avec les phalanges siciliotes et italiotes. L'affrontement fut terrible et malgré leur ardeur les vétérans libiens et les mercenaires grecs n'arrivaient à percer les lignes ennemies. Bien au contraire car la phalange de mercenaires grecs fut même totalement anéantie ! Mais Héloris n'eut pas la possibilité de jouir du spectacles de ses phalanges résistant puis enfonçant l'aile droite cartaginoise car, brusquement, un javelot ennemis vint le frapper en plein coeur !

Himilco crut que c'était le tournant de la bataille.
Certes il n'avait plus aucune unité de cavalerie mais la cavalerie lourde ennemie, bien que derrière ses lignes, avait besoin de souffler et la cavalerie légère syracusienne était maintenant tenue en respect par quelques unités légères d'Ibères. Mago allait donc pouvoir maintenant encerler les phalanges siciolotes et italiotes qui n'étaient plus commander pour les anéantir !

Mais Daphnaeus ne l'entendait pas de cette oreille et, après être enfin venu à bout des archers maures qui l'avaient bien gêné, il lança ses phalanges (court circuit réussi) sur l'infanterie légère africaine commandée par Himilco. C'était le coup de grâce !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Superbe Compte rendu Merci Montecristo