mardi 3 avril 2007

Lundi 2 Avril 2007



Présents: Jefiz, Isidorus, Arbr, Warjanus
Absents excusés: Montecristo, Byblos, La chenille
Jeux joués: Une bataille, deux tables de jeux, Simple GBoH.
Prochain jeu: système jours de gloire de Vae Victis.











Mon aile droite est victorieuse, mon aile gauche de même, mais mon centre souffre. Je commencre à craindre l'affrontement avec le centre Carthaginois.


Même séquence, gros plan sur mon centre. La ligne est brisée, je dois reformer au plus vite la ligne avant l'assaut ennemie !!!



Plan final ! Quelle pagaille !! Légère victoire pour le joueur de Syracuse. Le commandement de Syracuse n'a raté que deux jets d'intervention de l'initiative ce qui lui a permis de conserver de dominer chaque combat hormis les combats de troupes légères ou les troupes légères escarmoucheurs et chariots se sont régalés à foncer sur les phalanges de la colonie Grecque telles des félins sur un éléphant.


Sur la table d'a côté une autre bataille alternative se déroulait, celle ci opposait Jefiz a arbr







Les Carthaginois de Jefiz affrontaient les Syracusains d'arbr. Deux armées de style très différents : aux lourdes phalanges d'hoplites grecs répondaient les troupes légères de Carthage.

Notre partie commença par le harcèlement des tirailleurs carthaginois (archers et chars) qui se jetèrent sur les frondeurs alliés de Syracuse, avant de tenter de causer du mal aux lourdes phalanges en retrait. Syracuse riposta par une attaque de la cavalerie de son aile droite (cavalerie lourde), que son chef engagea entre les deux armées alignées, à la poursuite des tirailleurs carthaginois. Les archers, pris de flanc par la cavalerie se font hacher menu mais la cavalerie légère carthaginoise profite de l'absence de la cavalerie ennemie pour s'infiltrer sur les arrières des phalanges syracusaine tandis que la ligne d'infanterie carthaginoise, postée sur l'aile gauche et faisant donc face à la cavalerie syracusaine dangereusement avancée, parvient à s'activer avant syracuse et empêche ainsi le retour des cavaliers lourds. C'est le tournant de la partie : les phalanges syracusaines sont désormais tournées mais tentent de résister en se jetant vers l'avant pour occire l'infanterie légère carthaginoise. La mêlée est furieuse et sanglante et les deux armées sont au bord de l'effondrement. Finalement Carthage l'emporte, en grande partie grâce au débordement réussi sur l'aile gauche.

Au total une partie qui a suivi un déroulement assez peu historique, d'autant que nous ne maîtrisions pas bien les règles. A confirmer par d'autres parties mais on s'est bien amusé !